Les gestes auto-infligés sont très peu répandus en Essonne

Ce sont les conclusions de la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees). Selon ce service gouvernemental, les hospitalisations pour des tentatives de suicide et des auto-agressions montrent « des tendances très différenciées selon l'âge et le sexe » au cours des seize dernières années.

Les données psychiatriques témoignent d'une très forte augmentation des cas chez les adolescentes et les jeunes femmes. On connaît le taux de patients hospitalisés en court séjour en Essonne pour des gestes auto-infligés en 2022. Il est sous les 84 pour 100.000 habitants, ce qui est très faible.

Nicolas Chacun