L’homme interpellé en Essonne dans l’enquête sur les attaques contre des centres pénitentiaires a été relâché
Soupçonné de liens avec le groupe « DDPF » sur Telegram, il a été relâché faute de preuves après sa garde à vue. Aucune charge retenue.
Publié : 17 avril 2025 à 16h00
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Il avait été placé en garde à vue mardi soir. Les policiers qui l’ont auditionné ont finalement décidé de le remettre en liberté hier après-midi. Aucune charge n’a été retenue contre lui. Il était soupçonné d’être lié à la chaîne de messagerie cryptée Télégram « DDPF », pour « Défense des prisonniers français ». Cet acronyme a été tagué sur le lieu de plusieurs attaques commises depuis dimanche contre des centres pénitentiaires : des véhicules ont été incendiés et des impacts de balle ont été constatés.
Crédit : Olivier Doyen