On respire mieux en Île-de-France, mais des efforts restent à faire

À basse altitude, la situation reste problématique.

25 avril 2024 à 7h20

Ciel d'été

Crédit : CC0

Airparif a publié hier mercredi son bilan 2023 sur la qualité de l'air. On y apprend qu'elle s'est améliorée l'année dernière par rapport à 2022. C'est le cas depuis vingt ans, mais les résultats piétinent pour l'ozone de basse altitude, un « polluant gazeux nocif pour le système respiratoire ».


 


Dans le détail, les concentrations en particules fines et en dioxyde d'azote ont baissé en moyenne de 40 % entre 2013 et 2023 en Île-de-France. Les particules fines augmentent « le risque de mortalité lié aux infarctus, aux AVC, au diabète, aux cancers du poumon et le risque de survenue de la maladie de Parkinson », souligne Airparif.


 


Nicolas Chacun